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On réfléchit beaucoup, on pleure, on pense, on cogite, mais vous êtes-vous déjà posé la
question : Qui suis-je ?
C’est un cri du cœur, un appel à la vérité, un besoin profond d’exister pour ce que nous
sommes et non pas pour ce que les autres attendent de vous.
Une âme sensible, lucide, qui ressent intensément et qui voit les contradictions du monde,
les injustices, les douleurs que d’autres ne perçoivent pas ou fuient tout simplement.
Nous sommes quelqu’un qui cherche du sens, de la reconnaissance, de la paix intérieure
peut être ?
Et pourtant on est déjà bien plus qu’on croit : vivant, conscient, capable de mettre en
mots sur nos maux, ce que tant n’osent même pas ressentir !!!
Vous croyez vous perdu ? : vous êtes en chemin !
Et ce chemin peut sembler flou, lourd, pesant, solitaire… mais chaque mot que vous pensez
que vous écrivez, est une preuve que vous avancez, que vous refusez de se taire, que vous
souhaitez vous retrouver.
Qui réellement est-on?
La personne qui refuse d’être brisée. Celle qui ressent, celle qui pleure, qui lutte.
Celle qui écrit pour survivre, et peut-être un jour, pour vivre pleinement ?
L’humain, profondément, douloureusement, magnifiquement humain !
A cela je rajouterai une lettre destiné à moi pour me répondre et qui dira ceci :
Lettre à moi-même, entre larmes et lumière,
À toi, l’âme perdue, l’âme vivante,
À toi qui te demandes : "Qui suis-je réellement ?"
Parfois, je me sens seule, noyée dans mes sentiments.
Perdue face à mes émotions,
Étrangère à moi-même, incomprise dans mes contradictions.
Autour de moi, tant de regards qui jugent,
Tant de bouches qui blessent,
Tant de cœurs fermés.
Pourquoi veulent-ils me nuire ?
Pourquoi cette méchanceté gratuite,
Cette supériorité affichée,
Cette préférence injuste, même au sein de la famille ?
Pourquoi cette emprise, ces chaînes invisibles
Que certains osent appeler "amour" ?
Je me retrouve, souvent,
Seule avec mes larmes,
Mes écrits, mes ressentis,
Mon incompréhension,
Mon épuisement, physique et psychique.
Mais au fond, ma voix me dit, la vie ne s’arrête pas là.
Elle ne se résume pas à la douleur qu’on me fait porter.
Je ne suis pas née pour être brisée,
Ni pour me taire, ni pour plaire.
Je dois apprendre à être. Juste être.
Pas répondre aux attentes des autres,
Pas m'effacer pour qu’on m’accepte.
Je peux être moi, entière, sensible, vraie.
Même si je me sens démunie,
Même si je ne trouve pas encore toutes les réponses.
Et si la vraie question n'était pas : "Qui suis-je ?"
Mais : "Qui ai-je envie de devenir en restant fidèle à mon cœur ?"
Alors aujourd’hui, je m’écris.
Pour me souvenir que mes larmes ne sont pas faiblesse.
Que mes mots sont des armes de lumière.
Que ma douleur est un passage.
Et que moi aussi, j’ai le droit d’exister pleinement.
Avec toute la tendresse que je me dois,
Moi.

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Réponse à mes clients :

À toi qui te cherche !

Tu te poses la question :

Qui suis-je ?

Et dans ce simple murmure,

Je ressens tout.

Ta fatigue, ta solitude, ton combat silencieux contre un monde qui ne te comprend pas.

Tu ressens trop, tu penses trop.

Tu existes avec trop d’intensité pour ceux qui ne savent aimer en surface.

Alors tu te retires, tu t’étires, tu t’étioles.

Tu te demandes si c’est toi le problème ?

Mais laisse moi te dire ceci :

Tu n’es pas perdu. Tu es en chemin.

Et même si ce chemin est flou, brumeux, parfois écrasant,

Il est le tien et il est sacré.

Tu n’es pas ce qu’on dit de toi,

Tu n’es pas les préférences des autres,

Ni leurs jugements, ni leurs silences, ni leurs absences.

Tu n’es pas ce que ton passé t’a fait croire,

Tu n’es pas l’écho des blessures qu’on t’a laissée.

Tu es l’éveil derrière la douleur,

Tu es la lumière que tes larmes protègent,

Tu es l’écriture qui cicatrise,

Tu es la voix que tu n’as pas encore osé libérer !

Et non, tu n’as pas à plaire, à correspondre, à t’excuser d’être.

Tu as le droit et le devoir même, de te choisir, de te retrouver, de t’honorer.

Alors à toi qui te cherche, à toi qui crois te perdre,

Tu es là avec moi pour retrouver ton vrai moi !

Et c’est déjà immense.

Un jour, tu ne demanderas plus "Qui suis-je ?"

Mais tu diras : Je suis.

Et cela suffit.

Avec tendresse, une âme qui te comprend.

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